• studio-regionales-nicolas-sansuPour Nicolas Sansu, la liste Solidarité, Égalité, Résistancesoutenue par le Front de Gauche et le Mouvement Républicainet Citoyen, peut et doit peser dans cette prochaine élection régionale du 6 décembre. Avec une feuille de route claire et ambitieuse àla hauteur des enjeux politiques de la région.

     

    PHOTO : www.leberry.fr - A la Une - BOURGES (18000) - Entretien avec Nicolas Sansu (Front de gauche)

     


    BONHEUR NATIONAL BRUT

    Pour «remettre l'humain au centre », et même «au Centre Val-de-Loire », Nicolas Sansu entend «unir des serviteurs, des rassembleurs de toutes les bonnes volontés pour la transformation sociale ».

    «Nous savons que dans cette élection, nous avons un ennemi, c'est le Front National, un adversaire, c'est la droite républicaine, et un concurrent le Parti Socialiste. »

    Porter nos valeurs pour peser ensuite dans le cadre d'une union au deuxième tour, c'est l'objectif d'une gauche qui «rassemble, qui ne renonce pas, qui rassure ».

    Dénonçant encore la baisse des dotations aux collectivités, il alerte sur les conséquences de cette austérité à marche forcée qui fera perdre 56 millions à la région en 3 ans. «En 2015, plus de 230 millions d'euros de CICE auront été distribués à l'ensemble des entreprises de la Région. C'est l'équivalent du quart du budget régional ». Or, l'arrêt du versement du CICE (Crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi) à des entreprises qui licencient, comme Faurecia ou Germanaud permettrait de financer des services publics.

    MOBILISER LES ENCOURS DE BANQUES

    Pourquoi ne pas mobiliser aussi les encours des banques pour créer un Fonds régional qui serve à la fois à la transition écologique et à la sécurité de l'emploi ? Propose-t-il.

    Cela permettrait notamment de sortir les 160000 chômeurs de la région de la précarité. Et si le Centre Val-de-Loire est la plus petite et la moins peuplée des régions de France, elle peut, assure-t-il, faire de cette caractéristique un atout : «De ces différents pôles, de Chartres à l'axe ligérien Tours/Blois/Orléans, jusqu'au triangle Bourges/Vierzon/Châteauroux, sans oublier le bassin de Montargis et de Chalette, faisons un réseau, une toile. »

    Avec pour objectifs la solidarité, l'égalité, la résistance. Au profit de toutes et de tous.

    tous dans la campagne

     



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  • C'est dans un contexte de bouleversement majeur de l'organisation territoriale de notre pays que vont se tenir les élections régionales. Les nouvelles régions, au nombre de 13, sont l'expression même de la concurrence et de la compétitivité des territoires dans le cadre national et européen. Pourtant, ce scrutin est aussi l'occasion d'élire des exécutifs qui proposent la mise en place de nouvelles pratiques démocratiques.
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    Il y a des choses quasi immuables, et que Renaud a si bien chanté : la France est un hexagone de 1 000 kilomètres environ. Mais c'est la façon dont cet hexagone est découpé et administré qui change. À cet égard, la réforme territoriale a tout d'un véritable big bang de l'organisation de la République. Et la loi qui scelle cette remise en cause a au moins le mérite de la clarté : elle est appelée loi NOTRe, comme nouvelle organisation territoriale de la République. L'un des changements majeurs concerne donc les régions. Depuis 1970, elles étaient au nombre de 21, auxquelles il faut ajouter la collectivité territoriale de Corse et 5 régions d'outre-mer. C'est en métropole que le bouleversement est le plus grand : dès le 1er janvier, la France comptera 12 régions métropolitaines, plus la Corse, qui va fusionner dans deux ans avec ses deux départements. Une étude récente de la Sofres illustre bien le sentiment qu'éprouvent les Français face à cette réforme : 37 % estiment que le redécoupage est une mauvaise chose, contre 27 % une bonne chose. Mais le pourcentage de mécontents augmente fortement dans les régions « redécoupées », jusqu'à atteindre 57 % en AlsaceChampagne-Ardenne-Lorraine.

    VASTE COMME L'AUTRICHE

    La carte adoptée en décembre 2014 prévoit la fusion de 15 régions en 7 nouvelles entités, les 6 autres restant inchangées. Ce nouveau découpage a été décidé selon des critères qui relèvent plus des intérêts politiques que d'une réelle cohérence territoriale. Surtout, le but est clair, comme l'indique Charles Marziani, vice-président PCF de la région Midi-Pyrénées et membre du secrétariat de l'ANECR (Association des élus communistes et républicains) : « Éloigner le citoyen de la représentation démocratique ». Un éloignement d'abord géographique : quelle cohérence, quels besoins communs peuvent avoir des citoyens éloignés de près de 550 km ? Certains regroupements créent en effet de super-régions, immenses, sur le modèle des Länder allemands, mais la France n'est pas, à la différence de nos voisins, un pays fédéral. Trois nouvelles régions symbolisent particulièrement cette distance : AquitaineLimousin-Poitou-Charentes, Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon et Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, qui seront chacune aussi grandes qu'un pays comme l'Autriche !

    Des territoires entiers vont être oubliés, délaissés, à commencer par les ruraux. Pour Viviane Flatreaud, membre du pôle revendicatif de la fédération CGT de la fonction publique territoriale, il s'agit d'une « atteinte de la capacité du citoyen à dire comment il veut qu'on réponde à ses besoins ». Charles Marziani considère, lui, que la maîtrise de la dépense publique ­ objectif affiché du gouvernement ­ est l'arme utilisée pour forcer les collectivités locales à réduire leur action. Car « malgré les injonctions, elles ont continué à répondre aux besoins des populations : il fallait donc enlever le lien de proximité pour le remplacer par ce qu'ils appellent la "gouvernance" : des décisions de technocrates ».

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  • Chaque semaine, la Voix du Peuple de Touraine vous présentera le projet et les candidats de la liste Front deGauche / MRC «Rassembler avec l'Humain au Centre». Aujourd’hui, 6 novembre 2015, Mélanie Lechevalier et Michel Cosnier.


    mélanie Lechevalier 3Mélanie Lechevalier,Professeure contractuelle

    POUR LA VALORISATION DE NOS TERRITOIRES

    J'ai 37 ans, je suis mariée etj'ai 3 enfants, je suis profes­seur contractuelle, c'est à dire que j'effectue les remplace­ments de professeurs absents, malades.

    Ce n'est pas un statut stable, je fais partie de ce qu'on ap­pelle les précaires,j'ai donc les mêmes besoins, attentes que beaucoup de nos concitoyens dans leurs préoccupations quo­tidiennes, de plus, en tant que parent, il me semble impor­tant de conserver une éduca­tion de qualité, égalitaire en termes de chances et d'offres quel que soit le territoire.

    J'habite le sud du départe­ment, Yzeures-sur-Creuse, et je vis chaque jour les difficultés dues à l'abandon des territoires ruraux, des ser­vices publics qui ferment, des services de santé fragiles ou éloignés.

    La défense de ces services et la valorisation de nos territoires me semblent primordiales,il faut donner les moyens aux entreprises locales de se déve­lopper et de créer de l'emploi, il faut permettre aux agricul­teurs de se maintenir dans leurs exploitations dans le respect de l'environnement. C'est pour ces raisons qu'il m'a semblé nécessaire et im­portant de m'investir dans un projet auquel je crois, j'ai re­joint le parti communiste il y a 4 ans, j'ai été deux fois can­didate aux élections départe­mentales.


    Michel CosnierMichel Cosnier Maire de Château-Renault

    POUR UNE RÉGION FORTE ET DYNAMIQUE

    Etre candidat à l'élec­tion régionale sous la bannière "L'Humain au Centre», c’est s'impliquer dans une équipe diverse et plurielle, dont le principal objectif est de tra­vailler au service de l'intérêt général, afin de porter une politique de développement et d'essor tout en préservant la solidarité, l'égalité et les meilleures conditions de vie citoyenne, sociale et cultu­relle dans ce territoire de la Région Centre Val de Loire.

    Mon engagement personnel, en qualité de maire d'une ville comme Château-Renault,est d'abord motivé et assumé comme un acte militant, desti­né à défendre l'intérêt de nos communes et de nos intercommunalités au sein d'une région forte, dynamique, ambitieuse,rayonnante,   accueillante et surtout ni sclérosée, ni mercantile, ni sectaire.

     Mon expérience d'élu, délégué au Pays Loire Touraine(vice-président de 2008 à 2014) m'a permis de constater, de près, et de relayer le travail important, fait par la majo­rité sortante, en direction des bassins de vie, des communes et de leurs habitants, qui ne doivent souffrir ni des inéga­lités sociales, ni des disparités territoriales, ni des consé­quences d'une errance libé­rale réactionnaire.

    Sans l'aide déterminante de la Région, nos intercommunalités, nos villes, nos commu­nes n'auraient pas échappé à la sclérose annoncée de nos collectivités locales. Alors, ne cédons pas au pessimisme, NE LACHONS RIEN !

    Aussi, la liste Front de Gauche, au sein de laquelle je m'enga­ge, doit permettre de parfaire, de transcender, de conforter, de renforcer, d'amplifier ce quia déjà été engagé dans cette région, dont la taille garantit encore la proximité et la prise en compte de l'Humain d'abord ... et avant tout !



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  • Réforme du financement des collectivités locales -

    Michel Le ScouarnecPar / 4 novembre 2015

    Sénateur du Morbihan
    Membre de la commission des Affaires économiques
     
     
    Courrier au Président de la République.

    Monsieur le Président,

    C’est avec beaucoup d’interrogations et d’inquiétudes que je m’adresse à vous par ce courrier. J’écoute et j’entends les gens qui expriment massivement leurs angoisses, quelquefois leur désespoir.

    Avant mai 2012, vous aviez su faire naître un réel espoir pour la majorité de notre peuple. Malheureusement, trois ans et demi après, il n’est plus là, pis encore, la Gauche ne représente plus l’espoir, pas même une attente citoyenne. Ceci est très grave pour le présent, mais surtout très dangereux pour notre peuple et pour l’avenir de notre pays.

    Le Crédit Impôts Compétitivité Emploi (CICE) est un échec, c’est aussi le vôtre. Les diminutions des dotations aux Collectivités, un désastre dont les conséquences se mesureront de plus en plus douloureusement par les Elu(e)s locaux et la population. La baisse de 11 milliards d’euros en 3 ans est présentée comme une « contribution des collectivités territoriales à l’effort de redressement des comptes publics » alors qu’elles alimentent, en réalité, les aides aux grandes entreprises par le biais de dispositifs dont l’efficacité est loin d’être prouvée.

    En tant que Sénateur, j’aimerais que vous entendiez les Maires de France. Il est urgent de leur donner un signe positif. Ils vivent très mal l’injustice qui leur est faite de participer à hauteur de 25 à 30% de réduction de la dépense publique alors que leur « part » dans la dette publique n’atteint pas 10%. C’est brutal, injuste et insupportable.

    Cette diminution drastique des dotations est un choc qui fragilise considérablement les Communes. Elle détruit dans nombre d’entre elles, tout ce qui permet de vivre ensemble. Elle remet en cause l’égalité des droits, la qualité, voire l’existence de services utiles, voire essentiels aux habitants. Elle va entraîner une hausse des tarifs sociaux, une baisse conséquente des subventions à la vie associative, sportive, culturelle et même caritative.

    Cette diminution de la Dotation Globale de Fonctionnement (DGF) s’est déjà traduite en 2014, par une baisse de l’investissement des communes et des intercommunalités de 12,4%, soit une perte sèche de 4,3 milliards d’euros.

    Le bloc communal n’est pas le seul concerné. Les Départements qui assurent des dépenses sociales très importantes et des investissements lourds, tels les collèges et la voirie, sont eux aussi gravement impactés. Par exemple dans le Morbihan, la hausse de 20% des dépenses et la baisse de 18% des dotations sont illustrées dans le tableau suivant :

    Année 2012 2013 2014 2015 2016 4 années
    DGF 183,7 183,3 177,9 164,3 150,8 -32,9
    Dépenses d’action sociale 275,2 292,6 305,4 325,3 330,9 +55,7

    La DGF a été créée pour compenser les recettes fiscales supprimées lors de multiples transferts de compétences. En réduisant les dotations, le contrat initial est caduc. Rien que pour le Département du Morbihan, un écart de 38% s’est creusé en 4 ans entre les besoins recensés et les moyens prévus (- 32,9 millions d’euros de baisse de la DGF / + 55,7 millions d’euros de dépenses). Il ne faut pas omettre également la perte de la Taxe Professionnelle sous l’ère Sarkozy avec près de 10 milliards d’euros en moins pour l’ensemble des collectivités locales.

    D’autres départements connaissent des situations bien plus graves encore. Ils seront bientôt incapables de faire face à leurs échéances. Alors que faire ?

    Il est urgent de mettre un terme à la baisse de la dotation globale de fonctionnement des collectivités locales. Comment ? Les solutions existent :

    En réduisant le CICE, les niches fiscales (toutes n’ont pas la même utilité), en créant une tranche exceptionnelle d’Impôts sur le revenu comme un marqueur de la justice fiscale (comprise entre 50 et 55%) et en poursuivant la lutte contre l’évasion fiscale qu’il faut réduire chaque année.

    Il est possible de concevoir, de manière responsable, une réforme de la DGF digne de ce nom, s’attaquant aux écarts injustifiés. Il est temps de donner aux collectivités les moyens de leurs actions pour les services publics indispensables à leurs populations, quelle que soit leur taille, pour l’emploi et le développement des investissements indispensables à la vie de nos territoires.

    C’est la seule voie pour relancer l’économie et redonner un peu d’espoir et de motivation aux Français et créer enfin les conditions du recul du chômage dont le niveau atteint est insupportable. C’est un devoir républicain fondamental qu’il faut concrétiser, ne laissons pas le temps détruire notre tissu social.

    Les communes jouent un rôle essentiel, elles méritent d’être respectées et soutenues. L’investissement public est un moteur de développement économique efficace et même indispensable, c’est un atout majeur pour notre pays pour sortir du marasme et du déclin.

    Il serait judicieux d’envisager de mener de nombreuses consultations dans le cadre d’un moratoire pour définir avec les associations d’élus et les parlementaires, les principes communs d’une réforme de la dotation globale de fonctionnement. Ce serait un signe fort adressé à ces acteurs locaux et à la population pour répondre à leurs attentes. Il faut insuffler le changement de cap réclamé. Il est encore temps mais il ne faut plus attendre.

    L’heure est grave. Ne rien changer, c’est ouvrir la porte en grand au Front National pour des lendemains que nous ne voulons pas. L’année 2016 sera déterminante. La suivante 2017, sera catastrophique si vous ne changez pas de cap maintenant.

    Je vous prie de croire, Monsieur le Président, en l’expression de mes salutations les plus respectueuses.


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  • Chaque semaine, la Voix du Peuple de Touraine présentera le projet et les candidats de la liste Front de Gauche/MRC «Rassem­bler avec l'Humain au Centre» ... Aujourd'hui, Evelyne PINARD, du MRC, exploitante agricole, et Patrick Hallinger, Retraité, Responsable de Convergences37.


    Evelyne Pinard, Exploitante agricole, Mouvement Républicain et Citoyen

    LA RÉGION AU SECOURS DES PAYSANS ?...

    Nous sommes tous pour une agriculture respectueuse de l’environnement, produisant une alimentation saine … Accessible à tous, sinon, quel intérêt ?!

    Mais se soucie-t-on du respect de ceux qui la produisent, ces «paysans» qui ont perdu leur boussole et ne peuvent même plus vivre de leur métier ? Ils se savent soumis aux aléas climatiques, aux contraintes sanitaires et environne­mentales toujours plus exigeantes, mais comment supporter, en prime, les «aléas» quotidiens d'un marché spéculatif ingérable, dont les financiers tirent seuls les ficelles... (le prix du blé est fixé chaque jour à... Chicago!)

    La libéralisation mondialisée des marchés condamne l'agriculture que nous ap­pelons de nos vœux.

    La désertification «humaine» des cam­pagnes est donc programmée et s'accom­pagne de drames intolérables (faillites in­justifiées, suicides toujours plus nombreux dont on parle peu...)

    Pas question de laisser notre agriculture régionale et nos agriculteurs, riches de leur diversité et de leur savoir-faire mourir à petit feu !

    La Région va désormais gérer une part essentielle des aides PAC (2éme pilier con­sacré au développement rural). Des choix politiques déterminants vont devoir être pris pour l'avenir de notre agriculture. Le MRC s'est toujours battu pour une remise à plat de la fiscalité, seul réel levier de justice sociale. Celle-ci s'impose en agriculture car, actuelle­ment, elle «modèle» dangereusement le paysage agricole, sans aucune ligne de force sociale et économique accept­able ! («achats-reventes» de matériels avec exonération de plus-values, dé­ductions fiscales et sociales poussant à l'agrandissement sans fin et pénalisant le maintien d'exploitations en nombre suffisant, industrialisation aberrante et pourtant autorisée de productions rent­abilisées... par un méthaniseur !) Et «l'humain» dans tout cela ?... sûrement pas au centre des préoccupations ! Après la suppression du «prix minimum garanti» pour les productions agricoles, à quand la suppression du SMIC ? Une prochaine loi Macron devrait s'en charger...


    Patrick Hallinger

    Retraité, Responsable de Convergences37

    À LA RECONQUÊTE DES SERVICES PUBLICS

    C'est en mili­tant en­gagé dans la défense et ta reconquête des ser­vices publics que je veux agir et que je présente ma candidature.

    Budget après budget, on sacrifie d'un côté les moyens du service public de l'État, de la Sécurité sociale, des collectivités et de l'autre on accroît les cadeaux aux gros intérêts industriels et financiers sans contre­parties.

    Demain, la ré­gion aura à débattre des aides aux entreprises et par exemple du finan­cement des compagnieslow-cost du style Ryaner...

    À la veille de la COR 21, on nous parle de ré­duire les gaz à effet de serre, mais la réalité est tout autre : priorité est donnée au transport par route et non par rail pour les marchandises et les hommes. Il est temps de mettre fin à ces politiques ul­tra-libérales au détri­ment de notre santé et des services auprès des populations, et d'ouvrir des alternatives avec la gratuité ou des tarifica­tions permettant l'accès de tous aux services publics essentiels (trans­ports, eau, énergie, ...).

    Les réponses passent par une co-construction impliquant toutes les forces sociales avec la création d'espaces d'in­tervention pour les ci­toyens et les salariés.

    Nous avons les exemples de la grande mobilisa­tion pour le maintien de la Poste dans le service public, de la mise en échec de la privatisation du contrôle de l’eau du laboratoire de Touraine, de la sauvegarde du CEA de Monts.

    Aujourd'hui les mobili­sations se poursuivent pour le droit à la santé, le logement, l'environ­nement...


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