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Par rozalux le 25 Septembre 2015 à 18:43
Empêchons l'abominable, empêchons le crime. Agissons pour sauver la vie d'Ali Al-Nimr.
La France doit suspendre les relations bilatérales avec l'Arabie Saoudite si on décapite le jeune Ali. La France doit demander que l'Arabie Saoudite ne préside pas une Commission des droits de l'Homme à l'ONU.
Par tous les moyens, messages à l'ambassade d'Arabie Saoudite et au ministère des affaires étrangères, protestons pour sauver Ali!
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Par rozalux le 25 Septembre 2015 à 18:24
Alexis Tsipras s'est engagé vendredi à l'occasion du premier conseil des ministres de son nouveau gouvernement à "rapidement" mettre en place les réformes réclamées par les créanciers, UE et FMI, en contrepartie du troisième prêt accordé à la Grèce.
Cet accord avait été signé dans la douleur le 13 juillet par Alexis Tsipras, en dépit de son engagement préélectoral à en finir avec l'austérité dictée par l'UE et le FMI, pour éviter à son pays d'être expulsé de l'euro et le maintenir sous perfusion financière, avec un prêt sur trois ans de 86 milliards d'euros, le troisième depuis 2010.
"Il faut rapidement appliquer ce que nous avons convenu avec les créanciers afin d'achever la première évaluation du programme" par ces derniers, "et commencer à discuter de la réduction de la dette", a affirmé Alexis Tsipras devant ses ministres.
L'autre priorité du gouvernement est "la recapitalisation des banques pour assurer les liquidités", les Grecs restant soumis depuis 29 juin à un contrôle des capitaux, a dit M. Tsipras.
Une loi-cadre sur les mesures imposées par les créanciers, comprenant de nouvelles augmentations de taxes et la réorganisation de la fonction publique, avait été votée par le Parlement à la mi-août, au cours du précédent mandat d'Alexis Tsipras. Ce vote avait été marqué par la défection de 25 députés du Syriza, privant de majorité parlementaire le chef du gouvernement, qui a démissionné le 20 août pour précipiter l'organisation d'élections.
Réélu dimanche avec un écart de 7,5% face à son adversaire de droite Vangelis Meïmarakis, mais sans obtenir la majorité absolue, Alexis Tsipras a formé mardi un gouvernement de coalition avec le parti souverainiste des Grecs Indépendants Anel, reconduisant l'alliance de son premier mandat, entre janvier et juillet.
Pour obtenir le déblocage des prêts européens, il va devoir d'ici à fin octobre faire aussi adopter un rectificatif au budget 2015 comprenant de nouvelles coupes dans les retraites, une réforme de l'impôt sur le revenu et un durcissement de la fiscalité pesant sur les agriculteurs.
(…) Il s'est engagé (sans dire comment il va le faire) à "faire face au chômage qui est à des niveaux insupportables pour l'Europe", avec un taux qui s'établissait en juin à 25,2%.
Reconnaissant les "difficultés" qu'entraînera la mise en œuvre du nouveau plan, le Premier ministre s'est engagé à essayer de "trouver l'antidote pertinent aux répercussions négatives sur les bas revenus".
La reconduction d'Euclide Tsakalotos mardi aux Finances où il sera épaulé par le ministre adjoint Georges Chouliarakis est le premier signe envoyé par Alexis Tsipras à ses partenaires européens.
Les deux ministres, l'un et l'autre professeur d'économie, ont été les artisans de l'accord du 13 juillet.
Un autre défi pour le gouvernement d'Alexis Tsipras est "la gestion de la crise des réfugiés" dans un pays ayant enregistré l'arrivée par la mer depuis janvier de plus de 330.000 d'entre eux, pour la plupart des Syriens.
La Grèce s'est notamment engagée auprès de ses partenaires européens à mettre en place des centres d'accueil, de sélection et d'enregistrement des migrants, dont trois doivent bientôt ouvrir sur les îles de la mer d'Egée orientale concentrant les arrivées en provenance de la Turquie voisine, dont celle de Lesbos.
Tout en se félicitant de l'accord sur la répartition d'un total de 160.000 réfugiés dont l'UE a accouché au forceps, Alexis Tsipras a critiqué le comportement de certains pays membres comme la Hongrie, qui ont récemment fait usage de gaz lacrymogène pour empêcher l'entrée des migrants dans leur territoire.
"L'identité de l'Europe est en jeu", a-t-il souligné, s'élevant contre "la logique consistant à transformer les frontières européennes en des champs de bataille et nos mers en des tombes marines".
SOURCE : Grèce: Tsipras s'engage à l'application rapide du plan des créanciers - 25/09/2015 - La Nouvelle République(Morceaux choisis, commentaires …)
Affiches soutien :http://aveclesgrecs.com/
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Par rozalux le 25 Septembre 2015 à 17:58Daesh, la nouvelle armée secrète de l’OTAN ?Kendal ManisQuelles relations entretiennent les Etats-Unis avec Daesh ? Un rappel historique des méthodes ambiguës de l'OTAN et la mise en perspective de la guerre contre le terrorisme soulèvent bon nombre de questions.Sans verser dans la théorie du complot simpliste, cet article nous rappelle que les grandes puissances n'ont pas de principes, seulement des intérêts. A compléter par l'analyse des causes profondes qui, tant en Occident qu'au Moyen-Orient, ont rendu possible l'accomplissement de cette stratégie du chaos.
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Par rozalux le 23 Septembre 2015 à 17:36
À PEINE LES ÉLECTIONS PASSÉES, TSIPRAS VEUT BAÎLLONNER « ERT OPEN », L’EX TELEVISION PUBLIQUE DEVENUE INDÉPENDANTE ET AUTOGÉRÉE SUR INTERNET (N°1 DES MÉDIAS ALTERNATIFS) !
La police a été envoyée en début d’après-midi au centre d’émission d’ERT Open avec l’ordre de fermer l’émetteur et d’arrêter les responsables.
Nos amis Panagiotis Kalfagiannis et Dimitris Kounis, président et trésorier du syndicat des travailleurs d’ERT (qui ont rediffusé 53 fois « Ne vivons plus comme des esclaves » sur ERT Open), ont été interpelés et emmenés au commissariat de police de Kypseli.
Les réseaux sociaux et forums sont en ébullition à l’heure qu’il est. C’est une déclaration de guerre au mouvement social, au moment même où celui-ci se prépare à un automne brûlant contre le troisième mémorandum.
A suivre…
Y.Y. / Énorme scandale en Grèce : | Blog YY
Un bon papier de Tlaxcala sur le sujet :
http://tlaxcala-int.org/article.asp?reference=16009
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Par rozalux le 22 Septembre 2015 à 18:37
Le scandale des moteurs diesel du groupe Volkswagen a pris une ampleur inédite mardi, le constructeur allemand admettant que 11 millions de ses véhicules dans le monde étaient équipés du logiciel de trucage aux tests antipollution découvert aux Etats-Unis.
DESSIN : Volkswagen accusé de pollution | Xavier Delucq
Pour le deuxième jour consécutif l'action Volkswagen a vécu une véritable descente aux enfers à la Bourse de Francfort. A 13H10 GMT elle perdait 18% à 108,40 euros. En deux jours elle a dévissé de 35%, effaçant 25 milliards d'euros de capitalisation boursière, plus du double de la capitalisation totale de PSA Peugeot Citroën, et entraînant dans son sillage les autres titres automobiles sur les places européennes.
Volkswagen a reconnu que "des enquêtes internes (avaient) montré que le logiciel en question était aussi présent dans d'autres véhicules diesel du groupe". A savoir pas seulement des voitures de marque VW ou Audi, comme avéré jusqu'alors, mais potentiellement aussi des Skoda, des Seat ou des Porsche. Volkswagen chapeaute douze marques de voitures et de camions.
Le trucage, qui visait à contourner les tests antipollution au moyen d'un logiciel détectant le moment où ils étaient effectués, concerne tous les moteurs diesel de type EA189, soit "un volume total d'environ 11 millions de véhicules dans le monde", selon le constructeur. Cela correspond à peu près au nombre de voitures que le groupe, qui a récemment détrôné Toyota comme numéro un mondial du secteur, vend en un an.
A Berlin, la chancelière Angela Merkel a appelé ce grand nom de l'industrie allemande, « fierté nationale » aux liens étroits avec la capitale, à "la transparence totale" sur cette supercherie, qui faisait des vagues dans le monde entier.
Une enquête pénale a été ouverte aux Etats-Unis, le pays où le scandale a éclaté, a confirmé une source proche du dossier à l'AFP.
La Commission européenne a de son côté jugé "prématurées" des "mesures de surveillance immédiates" en Europe. ( ?)
Volkswagen, dont l'amende rien qu'aux Etats-Unis pourrait aller jusqu'à 18 milliards de dollars (16 milliards d'euros), sans compter le coût des rappels et d'éventuelles procédures en justice, va provisionner 6,5 milliards d'euros dans ses comptes du troisième trimestre (juillet-septembre). De quoi sérieusement amputer le bénéfice annuel du géant de l'automobile, aux 200 milliards d'euros de chiffre d'affaires (2014) et 600.000 salariés dans le monde.
LIRE LA SUITE : Volkswagen: quelque 11 millions de voitures truquées en circulation - 22/09/2015 - La Nouvelle République
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