• Gaz-de-schiste2

     

     

     

    Pour le lobby des grandes entreprises, le changement climatique est une cause importante... mais moins que la compétitivité de l’industrie. Plus le débat sur la transition énergétique avance, plus les divergences éclatent au grand jour.

    Pour lire la suite : 

    entreprise et politique énergétique

    ou bien :

    http://www.mediapart.fr/journal/france/170513/energie-les-entreprises-en-pleine-crise-de-foi 


    votre commentaire
  • Déclaration de Greenpeace :

    Des années après que les apiculteurs, les associations environnementales, les scientifiques… aient tiré la sonnette d’alarme, la commission européenne va certainement interdire trois pesticides jugés responsables du déclin des abeilles. Il était grand temps d’agir ! Au cours des dernières périodes hivernales, la mortalité des colonies d’abeilles domestiques en Europe se situait autour de 20 % et jusqu’à 53 % pour certains pays.

    greenpeace et les abeilles

    Une majorité simple d’Etats membres européens, dont la France, a voté hier en faveur de la proposition de la commission européenne d’interdire temporairement 3 pesticides de la famille des néonicotinoïdes. La commission a désormais le droit de mettre en œuvre cette interdiction. Celle-ci constituerait un premier pas dans la bonne direction pour protéger les insectes pollinisateurs et ainsi la production alimentaire en Europe.

    Passer de l’agriculture industrielle à l’agriculture biologique
    Le déclin des abeilles est un symptôme grave et particulièrement visible des défaillances de l’agriculture industrielle. Greenpeace se bat depuis des années pour que l’agriculture ne pollue les champs ni avec des OGM, ni avec des insecticides chimiques. La seule voie possible est de de promouvoir l’agriculture écologique, seule capable de garantir des pratiques agricoles et une alimentation saine. Il y a moins d’un mois, Greenpeace publiait un rapport analysant les études scientifiques parues récemment dans les revues de référence Selon ces études, la mortalité accrue des abeilles s’explique par la combinaison de plusieurs facteurs. L’usage de certains pesticides, et notamment des néonicotinoïdes, constitue clairement l’un de ces facteurs, ce que Syngenta et Bayer refusent obstinément de le reconnaître ! Environ un tiers des cultures agricoles dépend de l’action de pollinisation des abeilles pour être fécondées, et c’est le cas également de 90% des plantes sauvages. La commission doit immédiatement les protéger !


    votre commentaire
  • http://blogs.mediapart.fr/blog/victorayoli/260313/melenchon-connaissez-vous-l-ecosocialisme

    ecosocialisme

    Les médias à la solde des marchands d’armes ou de béton pas plus que les canards laquais ne nous ont donné connaissance de ces propositions. Pour pallier cette carence, les médias alternatifs, modestes mais nombreux, que nous sommes se doivent de faire connaitre ces propositions :

    « L’écosocialisme n’est pas une utopie à laquelle le réel devrait se conformer.C’est la réponse humaine raisonnée à la double impasse dans laquelle est enfermée dorénavant l’humanité en raison des modes de production et de consommation de notre temps qui épuisent l’être humain et l'environnement. Elle appelle une pensée et une action politique radicale, au sens où elle doit aller à la racine des causes. Nous combattons donc les deux moteurs du système actuel : le capitalisme et le productivisme. Le capitalisme impose la marchandisation pour faire de toute chose une nouvelle source de dividendes. Il est ainsi responsable du creusement des inégalités sociales et de la mondialisation à l’œuvre, libérale et liberticide, où règne le dumping social et environnemental avec la délocalisation des pollutions et des altérations de l'écosystème.

    Le productivisme épuise les ressources naturelles et perturbe le climat. L'idéologie consumériste est son corollaire. Elle élève l'accumulation matérielle au rang de loi, à grands coups de publicité pour générer des besoins jamais rassasiés. Nous désignons les vrais coupables de ce système : l'oligarchie financière mondialisée, les gouvernements soumis aux lobbies des multinationales sans contrôle démocratique, les idéologues de la concurrence« libre et non faussée », du capitalisme vert et du libre-échange. Face à eux, l'écosocialisme est une alternative pour sortir de la crise et imposer l'intérêt général humain : partager les richesses sans attendre, fonder une nouvelle économie des besoins et de la sobriété, préserver le climat, l'écosystème et sa biodiversité. »

    Après cette définition de l’Ecosocialisme, prenez donc connaissance de ces fort intéressantes propositions :

     http://www.jean-luc-melenchon.fr/brochures/ecosocialisme-premier-manifeste.pdf


    votre commentaire
  • ECOSOCIALISME_PG

    http://www.humanite.fr/politique/l-ecosocialisme-comme-reponse-la-crise-518018

    Le concept se veut une réponse à l’impasse du capitalisme et du productivisme et fera l’objet d’un long échange.

    Repenser l’écologie politique, sans oublier le second terme de l’expression. L’écosocialisme, qui sera l’un des temps forts de la discussion, lors du congrès du Parti 
de gauche, se veut une "nouvelle synthèse àgauche".  "L’émancipation ne peut être atteinte par la croissance sans fin", affirme Jean-Luc 
Mélenchon. Un premier rendez-vous en décembre dernier a conduit àla publication dun manifeste, 
tandis quun nouveau rendez-vous de réécriture se tiendra en novembre-décembre prochain. "Ses méthodes, exprime le manifeste, sont la radicalitéconcrète, la planification écologique et la révolution citoyenne."

    Dans ce mouvement qui s’inscrit dans le double constat de l’incapacité des libéraux de répondre aux défis de la crise de l’écosystème, et de la conviction que la social-démocratie est "stratégiquement condamnée par l’écologie politique", les initiateurs de la "règle verte" contre la "règle dor"estiment, àlinstar de Jean-Luc Mélenchon, que "leffondrement du système économique dans la financiarisation qui tétanise lactivitéhumaine, son imagination, sa créativitéculturelle, valide lintuition initiale par exemple du communisme: oui, nous sommes tous bien semblables parce que nous dépendons du même écosystème, oui, il y a des biens communs de l’humanité comme l’eau, oui, il y a un intérêt général humain qui doit donc s’imposer aux intérêts particuliers".

    Le mot se veut plus grand dénominateur commun, dépasse des questions comme la sortie ou non du nucléaire. "Notre espérance la plus forte, poursuit le coprésident du PG, est que très rapidement l’écosocialisme devienne le cadre commun doctrinal de tous les partis du Front de gauche. Mais pour que ça se fasse, il faut que ça se fasse tranquillement, sans tordre le bras à nos partenaires. Quand vous voyez que le document de congrès de la CGT consacre trois pages au développement du travail dans le cadre de la protection de l’écosystème, vous vous dites que beaucoup de choses sont en train de changer en profondeur à gauche."


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique